Anne Garde est l'auteur de plus de 25 ouvrages
En 1980, son premier livre “Bordeaux La Lune” révèle un Bordeaux nocturne de film noir et reçoit les félicitations la presse.
En 1982, suit “Villégiatures” qui fait découvrir les villas palladiennes du bordelais. Dans les colonnes du Figaro,
Michel Nuridsany parle d’“une révélation”.
Par la suite, Anne Garde va consacrer sa vie de photographe à la découverte des cultures du monde et des liens entre
l’Occident où elle vit et l’Orient où elle voyage avec son double littéraire Laure Vernière. Tout en continuant à publier des ouvrages notamment sur sa région d’origine, l’ Aquitaine, plusieurs livres témoignent de cette diversité. C’est ainsi que, de l’Inde au Japon, des titres célèbres tels que Salon Indien, Japan Express et Pondicherry Masala sont publiés chez de grands éditeurs.
Parallèlement, son travail d’installations sur des sites “Extralight” ainsi que son intérêt pour le monde ouvrier et
les usines paraissent dans divers catalogues “L’oeil noir du sous Marin”.
Dans l’esprit de mêler l’art à l’action, qui était l’activité principale de Thierry Agullo, la série « Rue des Étrangers » est la seule trace de la performance que l’agitateur culturel de la contre-culture des années 1980 a menée dans la base sous-marine et dans les rues du port, sous le regard de la photographe Anne Garde, en novembre 1977, dans un Bordeaux de film noir.
Très concernée par les modes de vie et les cultures qu’elle découvre – mais aussi leurs oppressions, l’exploitation humaine, la violence et la guerre, son travail saisit à la fois la politique et l’esthétique de ces sociétés. Carole Schmitz
Dans l’esprit de mêler l’art à l’action, qui était l’activité principale de Thierry Agullo, la série Rue des Étrangers est le seul témoin de la performance que l’agitateur culturel de la contre-culture des années 80 a menée dans la Base sous-marine et dans les rues du port, sous le regard de la photographe Anne Garde, en novembre 1977, dans un Bordeaux de film noir...LIRE
« …Anne Garde est une photographe voyageuse. Une aventureuse rêveuse. Une « rodeuse » , comme elle le dit joliment…» Elisabeth Vedrenne
« Le regard photographique d’Anne Garde nous immerge dans ce charme absolu …d’architectures audacieuses, de regards intenses, de bazars et de palais. »
« La photographe Anne Garde s’attache depuis toujours à traquer l’âme profonde de lieux inusités…Sa complice, l’écrivain et artiste Laure Vernière …étoffe ses images de récits pleins de poésie. » Elisabeth Vedrenne.
« …photographer Anne Garde and writer Laure Verniere decided to venture to the epicentre of all this beauty: Rajasthan, the wich translates to Land of Kings...»
« …Critique about photographic perfection aside it is fascinating view into the Jewel of the Empire. »
« Anne Garde montre la vie des esclaves des temps modernes démantelant des cargos. »
« ... des déambulations nocturnes…pour saisir l’atmosphère des espaces marginaux… une longue reflexion sur les traces de présence humaines. »
«...les images libres d’Anne Garde … qui témoignent de la ville comme d’un corps en devenir. »
« Elle se comporte en exploratrice de l’architecture…et peut devenir cet usager invisible…avec des interventions sur l’espace photographié …pour élaborer un discours personnel. » Olivier Namias
D’emblée on est frappé par la cohérence de l’ensemble, sous le signe de l’architecture des lieux, et aussi l’architecture de la couleur dans la mise en scène de ces lieux.
« Le travail d’Anne Garde représente à mes yeux une contribution importante au développement de la creation et de l’imaginaire photographiques. »
« … C’est ultramoderne. Un bijour de graphisme. »
« C’est un journal de voyage original…vous avez fait un beau voyage . calme? En apparence seulement. »
Un homme regarde le lecteur dans une petite fenêtre émergent d'un fon globalement noir…Aucun titre ce qui est très risqué de nos jours...
… « de point-gare en point-gare, ce tour ferroviaire se révèle un moyen particulièrement judicieux pour approcher le « mystère Japon» .
« ...carnet de voyage aux couleurs acidulées, Japan Express se présente comme un livre-objet à la fois ludique et dépaysant. »
« Anne Garde a subtilement montré ces séductions réciproques et paradoxales … qui correspond à la démesure du sous-continent…» Michel Nuridsany
« The French architectural and travel photographer Anne Garde has sure eye for the telling detail. »
« L’objectif d’Anne Garde… saisit l’atmosphère de ces palais des impossibles rencontres…» Ange Dominique Bouzet
« Anne Garde a su magnifiquement capter l’atmosphère victorienne des lieux…» Jean Michel Charbonnier
« Anne Garde révèle ses clichés avec la subtilité d’une artiste peintre…»
Les pères rédemptoristes ont depuis longtemps abandonné leur séminaire. Dans le quartier français, les villas coloniales ont renoncé à se battre contre le lichen noir qui les ronge. Que reste-t-il de notre amour pour l'ancienne cité interdite de l'Annam? Mais Hué existe-t-elle encore, autrement que comme un songe? En feuilletant l'album de photos qu'Anne Garde consacre à cette capitale oubliée (avec introduction signée par Lucien Bodard), on chavire devant les images d'une cité sacrifiée. Car, ce que la guerre avait épargné, le régime marxiste vietnamien l'a laissé pourrir. Ville impériale symbole d'ancien régime, Hué n'avait pas sa place dans l'Histoire en marche. Les tombeaux des empereurs sont livrés à l'herbe folle; les statues de la cour funéraire sont décapitées. Anne Garde révèle ses clichés avec la subtilité d'une artiste peintre sur soie et le recueillement discret d'une âme familière de l'esprit des ruines. Du souvenir, donc de la vie. Demetz Jean-Michel
« Un parcours plein d’éclats de vie, lumineux, serein.” » Brigitte Ollier
« …l’image est nette, la matière vivante, la géométrie inspire. A l’heure où on redécouvre François Kollar. »
« …dans la très belle et mystérieuse Base sous Marine de Bordeaux…elle a deposé des pigments de couleur…elle a fait apparaître une dimension secrète de l’architecture...» Régis Durand
« L’art de magnifier les ruines…»
« Anne Garde emprunte à Atget la simplicité formelle des cadres…» Hervé Guibert
« La grâce sauve les héroïnes les plus sombres de François Mauriac. Une grâce, les photos les plus noires d’Anne Garde. »
Edition, Colona
« …nous donner à voir l’envers corrompu de la Beauté »
« Etranges, superbes. Presque hypnotiques.» Pierre Nuridsany
« On a enfin marché sur la Lune…On songe aux “repérages » d’Alain Resnais…Ce n’est pas un mince compliment” Pierre Veilletet
« Bordeaux la Lune est un petit livre magnifique dans lequel on voit tout ce que Bordeaux cache…une angoisse nostalgique de ville qui fut un port et qui » a perdu les clefs de la mer » comme l’écrit Laure Vernière de Rossi.